10/01/2012 | Pensées d'enfant

Mes rêves
La frontière entre le rêve et la réalité est toute fine.
si fine que je me demande si elle existe vraiment.
Parce que nos rêves, c'est une partie de nous.
Et là, on est déjà dans la réalité
Nos rêves sont ce que nous sommes au plus profond.
Ce qui les rends terriblement importants
A commencer par être
Etre un être.. humain en l’occurrence, avec tout ce que ça comporte de mystérieux et compliqué.
Qui as le droit de prétendre que nous ne sommes rien, ou pas si important, alors que nous ne savons même pas qui nous sommes.
Les raisons de notre existence
Notre influence réelle dans le cosmos.
On a des idées certes, mais ce ne sont que des suppositions très limitées pour la plupart.
Misérables fourmis? petits cailloux insignifiants?
Ou dépositaires inconscient des secrets de l'Univers?
Allez savoir si nos pensées n’influenceraient pas sur chaque molécule qui nous entoure ?
Dans quelle mesure nous influençons nos propres atomes et si ceux-ci ne pourraient pas muer imperceptiblement à cause de nous
Créant ainsi d'autres dimensions, les renforçants ou les détruisant.
Par la force incroyable et sous-estimée de nos pensées.
Questions d'enfant ?
Oui, c'est vrai.
Je suis toujours un peu dérangée de lire ou d'entendre que nous ne sommes rien, alors que personne ne peut raisonnablement prétendre être au courant
des capacités propres à notre nature.
En gros, il me semble déraisonnable d'assurer que nous ne servons à rien.
Déraisonnable, au vu de toutes nos capacités, illogique!!
Alors forcement, quand on va dans ce sens, on stagne, on recule.
Allez savoir encore, si le gros problème de l'humanité ne serait pas simplement
un terrible manque de confiance en nous.
Pas étonnant qu'ensuite, la part de bête immonde qui sommeille, ou pas, dans nos gênes
aient encore de beaux jours devant elle.
On la cultive.
C'est "normal".
De générations qui se transmettent les mêmes informations erronées.
"Tu es poussière et tu retournera à la poussière".
Comme si nous pouvions nous résumer à ce corps si fort, ou si fragile...
Et j'en reviens à nos rêves.
Fermez les yeux.
Vous ne voyez rien?
Moi non plus.
Je ne suis pas assez fatiguée.
Il faut l'être pour que nos cerveaux se déconnectent davantage.
De tout ce raisonnable auquel nous nous accrochons.
Ce raisonnable qui fait écran.
Et puis, l'inconnu fait peur.
Contradictoirement le vide nous attire.
Philosophie de bas étage?
Non, non, pensées d'enfants.
Avant que son entourage ne lui répète et rerépète ce qu'il doit savoir.
Lui bourrant, bouchant le crâne avecune pâte à modeler de connaissances étouffantes.
Aucune honte, juste de l'habitude, pour se protéger.
Il y a ceux qui sont allé si loin qu'ils ne sont jamais revenus.
Ils sont encore parmis nous, pourtant, mais nous n'arrivons plus à communiquer.
Si on pouvait se contenter d'exister en trouvant ça formidable.
Aimons nous les uns les autres... c'est pareil.
Vous vous souvenez de ma copine si ennervante?
Aujourd'hui, on s'est compris à nouveau.
J'ai apprécié son comportement.
Il était étonnant, encore plus que ce que j'aurais souhaité.
Je ne sais pas ce qui à motivé ce retournement de situation.
Elle à besoin de moi, surement.
Moi aussi. Je ne veux pas casser cette connexion.
Une fois débarrassée de tout ce que nous avons de méprisable, alors reste notre essence même.
Je ne comprends pas pourquoi nous devrions protéger ou dissimuler ce qu'il y a de plus fort et de magnifique en nous.

03:55 Publié dans histoire vraie | Tags : pensées, enfant, confiance, être, questions | Lien permanent | Commentaires (4) | Trackbacks (0) |