Bien à Bienne : Evolution

Evolution

09/09/2012 | Evolution

Evolution

Certaines personnes vous permettent d'évoluer.

C'était le cas, dans ma dernière séance.

Des choses qui sont venues naturellement, au fur et à mesure.

Je ne pourrais plus dire quoi exactement, tellement je suis vidée quand j'ai terminé, mais c'est intégré

sur le disque dur de ma mémoire.

Evoluer et comprendre sont mes deux moteurs principaux dont l'amour est la benzine.

Cette phrase pourrait résumer ma vie, s'il n'y avait aussi les épreuves.

Les épreuves font avancer.

Mais parfois, il faut savoir dire stop.

Ca s'apelle des limites.

Celle qu'on se met à soi-même et celle que l'on met aux autres.

Une chose est certaine, mon temps est précieux et lorsque je me rends compte que mon énergie n'est pllus utilisée à bon escient , alors je bâche.

Je me reconcentre sur ce que j'ai à faire.

Tout ce que je fais et qui m'amène sur ce chemin que j'ai tellement cherché et qui apparait à présent.

Ce n'est plus un chemin, c'est une avenue , splendide, immense bordée d'arbres multi-centenaires.

Avec des bancs ombrés par les feuillages.

Ca pourrait être une autoroute, mais non, je n'aime pas spécialement les autoroutes.

Je veux aller à mon rithme.

Je suis une travailleuse, infatiguable, je passe mes nuits à produire des choses qui ne prennent pas forcement tout de suite leur signification.

Comme ce dessin que j'ai fait il y a longtemps , d'une jeune femme de dos , sur le rebord de la porte du jardin.

Maintenant c'est devenu une carte postale.

 

Puisque j'ai l'autorisation, alors, voici une de mes photos préférée.

Une qui montre mon évolution dans la photo.

Et je mesure le chemin parcouru.

Je suis fière de moi.

Mais rien ne serait possible sans mes modèles, qui tous et toutes me font avancer.

Qu'ils, qu'elles en soient remercié.

18:37 Publié dans BIENNE | Tags : evolution, comprehension, photo | Lien permanent | Commentaires (4) |

Commentaires

Tel l'oiseau qui, le printemps revenu, trouve en lui la force nécessaire pour parcourir tant de kilomètres...
Tel l'oiseau qui, l'automne revenu, trouve en lui la force nécessaire pour parcourir tant de kilomètres...
Telle CatBer qui, malgré et peut-être grâce à, trouve en elle la force nécessaire pour continuer son chemin, son destin...
Vole Poussin, vole, ne te retourne pas, ne laisse rien freiner ta course vers la chaleur...
Ton heure est venue, les aiguilles de la montre frappent à ta porte...
Emporte le minimum et vole enfin!

Écrit par : Sans Draps | 09/09/2012

Flap flap flap...
:))))))))))).

Écrit par : Cat | 09/09/2012

Je suis si heureuse pour toi ma soeur

Écrit par : Véro | 09/09/2012

bravo petite gurdy

Écrit par : clara | 10/09/2012

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